Arcades carbonées
Tourbillonnant, désinvoltes
Au-dessus de nos têtes
Dansant si calmement
Dans le brouhaha des carburants
Les nuages avancent, impassibles
Au-delà de nos préoccupations
Parfois déversent des pluies acides
Mais nous n'y pouvons rien, non,
Nos souffles futiles se perdent
Dans la masse des espérances
Et moi, pendant ce temps,
Je tourne en rond
Poussière parmi le tourbillon.
Et moi, j'ai le tournis
Entre toutes ces palpitations,
Poussière parmi le tourbillon.
Tourbillonnant, désinvoltes
Au-dessus de nos têtes
Dansant si calmement
Dans le brouhaha des carburants
Les nuages avancent, impassibles
Au-delà de nos préoccupations
Parfois déversent des pluies acides
Mais nous n'y pouvons rien, non,
Nos souffles futiles se perdent
Dans la masse des espérances
Et moi, pendant ce temps,
Je tourne en rond
Poussière parmi le tourbillon.
Et moi, j'ai le tournis
Entre toutes ces palpitations,
Poussière parmi le tourbillon.
5.09.09
Tournis partagé.
RépondreSupprimerMais nos souffles sont-ils si futiles ?
En parlant de souffles, va voir par ici si tu ne connais pas déjà : un beau texte de Cantat chanté par Eiffel : A tout moment la rue
Tu peux y écouter la chanson et y lire les paroles.
Je connaissais déjà cette chanson, j'écoute Eiffel régulièrement depuis que j'ai découvert ce groupe... :)
RépondreSupprimerJe ne te la fais pas découvrir... Dommage. Mais je vois que nos goûts musicaux se rejoignent.
RépondreSupprimerCa ne m'étonne pas vraiment à la lecture de certains de tes textes.