mardi 29 juillet 2008

Travail Inné ?


Impossible de me contenir.
Certains en dix lignes décrivent
Des hectares de passions, rivent
Les images à leurs mots sbires.

Je m'accapare l'image de l'homme épique.
On a beau croire : même si ses mots piquent,
Il n'est pas héroïque, juste star aux mains remplies
D'avatars en dents de scie.

Fixe-toi une limite
Pour la franchir ensuite ;
Prépare pour tes cauchemars qui palpitent
Un plan qui les contrecarre.

Détruis-moi ces remparts, prends la fuite,
Envole-toi dans les contrées maudites
De l'art, vole ses pépites
Rencontrées en de somptueux lupanars.


//29 juillet 2008//

3 commentaires:

  1. Allez allez, c'est les vacances d'accord, mais faudrait penser à mettre à jour quand même.

    La prépublication, c'est pas fait pour les gounz :)

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  2. Bizarre, à la deuxième lecture on comprend ... presque tout, à la première on comprend... presque rien! :D

    mais j'aime quand on ne comprend pas tout de suite, au moins la beauté du texte n'est pas qu'un travail de l'auteur (même si ça joue beaucoup), c'est aussi un travail du lecteur

    Bravo à toi pour ce que tu fais;)

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