On sent le vent froid des gyrophares
C'était trop calme, la grande bleue
Reposait en paix comme Saint-Lazare
Une nuit d'hiver.
La voiture est arrivée,
Vitres teintées, portes blindées ;
L'homme en sort pour cueillir
Les fleurs de la clandestinité.
C'est ainsi en carrosse
Que se font ramener en douce
Les cinquièmes roues de la Nation ;
Allons enfants de la Patrie, allons...
C'était trop calme, la grande bleue
Reposait en paix comme Saint-Lazare
Une nuit d'hiver.
La voiture est arrivée,
Vitres teintées, portes blindées ;
L'homme en sort pour cueillir
Les fleurs de la clandestinité.
C'est ainsi en carrosse
Que se font ramener en douce
Les cinquièmes roues de la Nation ;
Allons enfants de la Patrie, allons...
7 avril 2009. 23:33
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire