Dieu, j'ai pêché.
J'ai roulé,
J'ai escroqué.
J'ai fumé,
J'ai bu,
Je n'ai su
Qu'après
Que c'était
Mauvais.
J'ai volé,
J'ai crié
Plus fort que les anges...
J'ai sali
Des noms
Pour un oui,
Pour un non.
J'ai ri
De la peur,
J'ai ri
De la faiblesse,
J'ai ri
De la sueur,
J'ai ri,
Quelle bassesse !
Dieu, j'ai pêché.
Je me suis moqué,
J'ai même tué
En parlant.
J'ai brûlé
Les ailes d'un nouveau-né
J'en ai profité
Pour brûler
Ses aînés.
Je me suis drogué
J'ai sniffé
Le malheur des rues.
Je me suis injecté
Leur détresse
Et mes veines sont devenues
Des avenues.
J'ai volé,
J'ai crié
Plus fort que les anges...
Dieu, j'ai détruit
Mon coeur.
Pourtant, pour toi,
Il est sacré ; la foi
L'honorant de mille douleurs
Le forgeant,
Le coeur résistant.
Dieu, j'ai pêché.
Mais que c'est bon...
Et si je caricature,
Si je suis réducteur,
Qu'on me jette en pâture !
Dieu, j'ai pêché.
Mais que c'est bon...
J'ai volé,
J'ai crié
Plus fort que les anges...
//26 septembre 2008//
J'ai roulé,
J'ai escroqué.
J'ai fumé,
J'ai bu,
Je n'ai su
Qu'après
Que c'était
Mauvais.
J'ai volé,
J'ai crié
Plus fort que les anges...
J'ai sali
Des noms
Pour un oui,
Pour un non.
J'ai ri
De la peur,
J'ai ri
De la faiblesse,
J'ai ri
De la sueur,
J'ai ri,
Quelle bassesse !
Dieu, j'ai pêché.
Je me suis moqué,
J'ai même tué
En parlant.
J'ai brûlé
Les ailes d'un nouveau-né
J'en ai profité
Pour brûler
Ses aînés.
Je me suis drogué
J'ai sniffé
Le malheur des rues.
Je me suis injecté
Leur détresse
Et mes veines sont devenues
Des avenues.
J'ai volé,
J'ai crié
Plus fort que les anges...
Dieu, j'ai détruit
Mon coeur.
Pourtant, pour toi,
Il est sacré ; la foi
L'honorant de mille douleurs
Le forgeant,
Le coeur résistant.
Dieu, j'ai pêché.
Mais que c'est bon...
Et si je caricature,
Si je suis réducteur,
Qu'on me jette en pâture !
Dieu, j'ai pêché.
Mais que c'est bon...
J'ai volé,
J'ai crié
Plus fort que les anges...
//26 septembre 2008//
J'aime.
RépondreSupprimerMerci (de ce commentaire, de tous les autres, et puis bon, de tout plein d'autres choses).
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